Retrouver les primitivismes à l’ère des anthropocènes. Ensorceler les mondes contre les hypnoses de la société de l’œil.
Des technologies brutes pour appréhender l’invisible. La poésie. Des dispositifs pour recomposer les agencements du monde. Le silence, l’aléatoire, la répétition, l’improvisation. Des stratagèmes pour négocier, pour entrer en résonance. Des stratégies pour résister, des voyages et des dérives.
Rythmes, échos, présences forment autant d’entrées dans ce labyrinthe de recherche et d’expérimentation permanente. Pas de théorie, pas de productivité, peu de certitudes.
Les projets présentés ici sont comme autant de souterrains pour une géologie de l’invisible : volontairement fantomatiques, délibérément flous.
Saturnisme – Pol du Bot